
Chancel Mbemba, défenseur international congolais, se retrouve aujourd’hui sans club après une saison difficile à l’Olympique de Marseille. Son départ du club phocéen marque la fin d’une période où il a été mis à l’écart, laissant libre cours aux spéculations sur la suite de sa carrière.
Une expérience marquée par les hauts et les bas
Arrivé à Marseille en 2022 en provenance du FC Porto, Mbemba avait rapidement séduit par sa solidité défensive et son professionnalisme. Cependant, la saison 2024-2025 a été marquée par son isolement progressif au sein de l’équipe, sans que le club ne communique officiellement sur les raisons de cette mise à l’écart. Malgré cela, le joueur est resté exemplaire, déclarant : « J’ai respecté le club et mon contrat », tout en exprimant sa gratitude envers les supporters pour leur soutien tout au long de son parcours.
Lille : une opportunité pour rebondir
Libre depuis le 1er juillet 2025, Mbemba attire désormais l’attention de plusieurs clubs européens. Le LOSC Lille se montre particulièrement intéressé par ses services, voyant en lui une solution solide pour renforcer la défense. Son expérience en Ligue 1 et son statut de joueur libre constituent des atouts importants pour le club nordiste, qui pourrait ainsi recruter sans payer de frais de transfert.
Les défis à relever
Cependant, certaines exigences salariales pourraient freiner les négociations. Mbemba, conscient de sa valeur, souhaite un projet sportif ambitieux et un salaire en accord avec son expérience, ce qui a déjà refroidi certains prétendants, notamment en Arabie Saoudite.
Un avenir encore ouvert
Malgré ces obstacles, Mbemba reste concentré sur son objectif : continuer à évoluer dans un championnat européen compétitif. Ses proches rapportent qu’il est confiant et motivé à l’idée de trouver un club qui lui offrira un projet solide et valorisant.
Et vous ?
Que pensez-vous de la situation de Chancel Mbemba ? Pensez-vous qu’il pourra rapidement rebondir dans un club européen ou rencontrer de nouvelles difficultés ? Vos avis et analyses sont les bienvenus dans les commentaires.
À suivre…