Gaël Kakuta revient en Europe et signe en Turquie
Gaël Kakuta fait son retour en Europe après une brève expérience en Iran. Libre depuis son départ de l’Esteghlal FC, l’international congolais de 33 ans s’engage avec Sakaryaspor en deuxième division turque. Son objectif : aider le club à se maintenir et relancer sa carrière après un passage mitigé en Asie.
Après une courte expérience en Iran, Gaël Kakuta retrouve le football européen. Cinq mois après son arrivée à l’Esteghlal FC, l’international congolais, désormais libre de tout contrat depuis janvier, s’est engagé avec Sakaryaspor, un club turc évoluant en deuxième division.
Une aventure iranienne sans éclat
L’épisode iranien n’aura été qu’un passage furtif dans la carrière de Kakuta. Recruté en août 2024 pour renforcer l’Esteghlal FC, l’ancien joueur du RC Lens et d’Amiens n’a pas réussi à s’imposer comme un élément clé de l’équipe.
En championnat, il a disputé 13 rencontres, dont 9 en tant que titulaire, et n’a inscrit aucun but, se contentant d’une seule passe décisive. Sa contribution en Ligue des Champions asiatique s’est limitée à quatre apparitions sans impact notable.
Alors que l’Esteghlal FC traversait une période compliquée, pointant à une inquiétante 11ᵉ place du classement, le club et le joueur ont convenu d’une séparation à l’amiable. Un choix qui permet à Kakuta de tourner la page et de se relancer ailleurs.
Nouveau défi en Turquie
À 33 ans, Gaël Kakuta ouvre un nouveau chapitre de sa carrière en rejoignant Sakaryaspor, actuel 18ᵉ de la deuxième division turque. Son objectif principal sera d’apporter son expérience et sa créativité pour aider le club à se maintenir.
Cette signature marque son 15ᵉ club et son 8ᵉ pays, après des passages en France, Angleterre, Espagne, Pays-Bas, Chine, Italie et Iran.
Avec 23 sélections et 3 buts sous le maillot de la RD Congo, Kakuta possède un bagage technique qui pourrait être un atout pour sa nouvelle équipe. Reste à voir s’il parviendra à retrouver son influence sur le terrain et à guider Sakaryaspor vers le maintien. Ce défi en Turquie pourrait bien être l’un des derniers grands tournants de sa carrière.
